"Parcours de migrants"

 

Une émission de :
Hoka Claude Gouin

un jeu qui met en scène six personnages qui émigrent jusqu'en France. Le plateau représente leur parcours, de leur pays d'origine jusqu'à leur insertion ou France ou leur retour volontaire dans leur pays d’origine.

Derrière un aspect ludique, " Parcours de migrants"  est un véritable outil pédagogique qui permet de sensibiliser tant un public jeune qu’adulte sur les situations des migrants, de s’interroger sur la représentation de l’autre, d’amener une responsabilisation citoyenne et d’humaniser des situations singulières qui n’apparaissent pas derrière des termes tels que sans-papiers, étrangers, réfugiés...

UNE PROPOSITION DE

LA LICENCE PRO CO-DEVELOPPEMENT
RUSF  -   RESF25 
CDDLE
Collectif de Défense des Droits et Libertés des Etrangers

CIMADE

PRISE SON LE SAMEDI DES REGIONALES 2ER TOUR 
PLACE PASTEUR Besançon

 

 

 

 

 


 



 

A LIRE

PLEIN DROIT revue du GISTI N84


« PETIT GUIDE POUR LUTTER
CONTRE LES PREJUGES
SUR LES MIGRANTS »


Entre chagrin et néant,
audiences d'étrangers
de Marie Cosnay
éd. Laurence Teper
coll. "Voix du bord"

composé à partir de notes prises entre mai et septembre 2008 lors d'audiences du Juge des Libertés et de la Détention pour l'examen du maintien en rétention d'étrangers sans permis de séjour. 

Cosnay pense son cadre avec soin, explique sa façon de prendre des notes, quelquefois de perdre pied, sa réflexion sur les noms propres, sur les fonctions plutôt que les personnes, sur les limites de sa position, sur son implication, ses sentiments face à des situations aussi déchirantes, sa fraîcheur d'attention qui risque de pâtir d'un nécessaire détachement. Les propos rapportés sont toujours clairement attribués à leur source mais ne sont jamais donnés entre guillemets comme verbatim ou citations : ce sont des propos entendus, passés par le sujet qui les écrit, internes au texte de Cosnay, assumés par le "je" présent aux audiences et qui les a perçus. Le "je" qui regarde, non pas qui observe, qui regarde, qui écoute, qui ressent, le "je" foyer de l'écrit.